« Ce petit mot s’adresse autant au médecin qu’à l’écrivain. Merci mille fois pour ces poésies « covidiques ». Elles sont pleines d’humour, de ressenti, d’humanité et d’empathie pour le monde des malades. Elles sont aussi, c’est ce que je ressens très profondément à leur lecture, un appel au sursaut pour les uns, à un peu moins de condescendance et de certitude pour les autres et un hymne au refus de l’infantilisation à laquelle nous « convient » nos dirigeants sans le moindre scrupule, nimbés qu’ils sont dans leurs éternelles certitudes. »
Salins-les-Bains (Jura) – 3 novembre 2020